On peut bien trouver toute sorte de défauts au Salon du livre : trop de monde, prix d’entrée, absence d’aubaine, etc. Reste que d’avoir l’occasion de serrer la main et de jaser un peu avec l’auteur qui vient de te faire passer plusieurs belles heures en compagnie des personnages qu’il a inventés… ça compense pour tous les petits irritants.
Monsieur Folco est très généreux et prend le temps de jaser avec tout le monde. Pour ma part, je me suis contenté de le remercier et de lui dire à quel point j’avais hâte au prochain bouquin.
Tout à fait d'accord sur ta vision du Salon du livre. C'est spécial de se retrouver nez-à-nez avec tous ces auteurs que l'on ne connaît que par leur plume et leur photo sur la jaquette.
J'ai eu la chance de rencontrer deux légendes du Canadien de Montréal, Yvan Cournoyer (samedi) et Jean Béliveau (dimanche) qui ont amicalement signé les trois livres des Illustres Canadiens que j'ai traînés avec moi pendant deux avant-midis (c'est lourd, trois livres de table à café, accrochés sur une épaule pendant plusieurs heures!)
C'est vraiment une occasion en or. Il y en a pour qui les autographes ne veulent rien dire mais un livre dédicacé, c'est différent. C'est comme la signature authentique de l'artiste au bas de sa toile.
Ça me rappelle le festival de la BD à Québec, où j'ai pu serrer la pince et jaser un peu avec Fred. Je n'avais rien sous la main pour une dédicace, mais il m'a trouvé une feuille de papier "empruntée" dans un calepin et j'ai eu droit à un petit dessin de Philémon.
Ceux qui ne connaissent pas l'univers de Fred, commencez pas ici:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fred_Othon_Aristid%C3%A8s
ou par Batbad (HUM!)…
http://www.batbad.com/