Molson Dry organise un party privé sur le toit de la brasserie pour regarder le feu d’artifice du 21 juin ? Ils veulent créer un buzz chez les blogueurs ? Des copains blogueurs seront sur place ? Il suffit de raconter une histoire de party ? Il faut faire un peu de pub pour Molson ?
Je n’ai rien de prévu pour le 21 et ça me tente d’être là… alors, j’embarque !
On me demande de raconter ça à la façon d’un commentateur sportif… Pas de problème, allons-y.
La scène à lieu aux résidences Piekouagami du cégep de Jonquière en 1989. La gang du 10e étage comptait quelques gratteux de guitare bruyants qui faisaient retentir leurs amplificateurs dans tout l’édifice. Parmi eux, un certain Max qui possédait une guitare électrique blanche et un ampli tonitruant. Son talent limité était compensé par un enthousiasme certain. Il va sans dire qu’une grande partie du budget mensuel apparaissait directement dans les états financiers des grandes brasseries… et que les fins de mois arrivaient vite.
La gang du 10 avait ses habitudes dans un petit bar de chansonniers de la rue St-Dominique et devait régulièrement demander crédit (ou aumône) au sympathique propriétaire pour remplir ses gobelets… budgets d’étudiants obligent. Dans ce bar, un certain chansonnier maniait la guitare de façon spectaculaire et était un régulier de l’endroit. Plusieurs membres de la «gang du 10» et lui avaient fraternisé et s’était souvent promis de faire le party ensemble «un de ces 4». Un soir, à la fin de son «set», le chansonnier retransmit l’invitation lancée, sans trop y réfléchir, par un membre de la bande : «Venez, on va finir le party au Piekouagami !».
Voilà donc un convoi d’étudiants et de piliers de bar (dont certains assez douteux) en route vers les résidences étudiantes où presque tout le monde dormait. Heureusement, un local du sous-sol était accessible et situé juste assez loin des oreilles endormies. Branche les amplis, accorde les guitares, ouvre quelques bières fraîches (de la Molson… bien sûr !) et «go» pour un party musical improvisé… les meilleurs !
Si ma mémoire (de commentateur sportif) est bonne, ce sont des agents constabulaires qui ont mis un terme à tout ça à une heure assez avancée. Reste que c’est le genre de party qui demeure gravé dans les mémoires et qui valait bien le savon que le gestionnaire des lieux servit aux membres de la «gang du 10» le lendemain.
Je vous invite à raconter vos histoires de party dans les commentaires de ce billet. Si on m’offre la chance d’aller au party du 21, je pourrais choisir trois personnes parmi les commentateurs pour m’accompagner sur le toit.
… et je tague quelques copains blogueurs et blogueuses que j’aimerais voir au party : Carl, CFD, Ygreck, Panique, Mario, Dominic et Sandra.
Merci pour cette belle invitation. Je ne sais pas quoi penser du concept et de l'idée… j'y réfléchis encore un peu avant de prendre une décision.
Merci de ta participation Max, on va sûrement se voir au party privé (je suis dans l'organisation de l'événement).
Le but du party était de réunir blogueurs et lecteurs, tu peux donc choisir parmi tes fans (ou les gens qui te lisent) 3 personnes (qui ne doivent pas nécessairement avoir un blog) mais qui devront laisser leur histoire en commentaire sur ton billet, au plaisir !
Je pourrais raconter un party de pendaison de crémaillère qui s'est terminé dans un "sout de skidoo"; mais je ne le ferai pas…
Jean-Paul
Laquelle choisir, j'ai été jeune et fou moi aussi 😉
On a combien de temps ?