J’ai compté 12 employés qui vont et viennent avec parfois un papier à la main. Le téléphone ne sonne pas, c’est jeudi après-midi, jour de paye… et pourtant : seuls 3 guichets sont ouverts. Une belle rangée de poireaux attentent que la petite madame termine de payer sa demi-tonne de factures jaunies et que l’autre petit monsieur termine de transiger Dieu sait quoi ! Misère… je préfère les guichets automatiques.