Pour_hubert

Avec le copain français l’autre jour, on s’est baladé longuement en voiture dans Montréal. Partout, Hubert scrutait la route avec l’espoir d’apercevoir «au moins une» voiture française. Malheureusement, je crois qu’il a retraversé l’Atlantique sans avoir vu la moindre «caisse» de son pays.

C’est pourquoi, quand j’ai vu cette vieille Cinq hier, j’ai demandé à mes deux amours de participer à ce petit clin d’oeil pour Hubert !

Difficile de parler de Renault Cinq sans avoir une petite pensée pour l’ami Éric qui en a possédé 3 ou 4 de suite à une certaine époque. C’était plutôt comique de nous voir, lui et moi, épaule contre épaule à bord d’un vaillant Chameau. 500 livres d’amitié dans une boîte de conserve !