Comme plusieurs le savent, ma blonde est organisatrice résidentielle et, comme elle ne prêche pas dans le désert, nous nous efforçons d’appliquer ces principes dans notre vie quotidienne. Comme un gars, au début j’étais sceptique et j’avais tendance à mettre tout ça dans la catégorie «patente de femmes». Au fil des mois, j’ai constaté les bénéfices d’une vie et d’une maison mieux organisée.

Une des choses que je fais volontiers, et qui est le pivot central de l’organisation, c’est de me débarrasser du superflu. Si quelque chose est inutile, il ne faut pas le descendre au sous-sol ou le mettre dans le fond du garage… il faut absolument qu’il sorte de la maison. Qu’il prenne le chemin du bazar, du recyclage, de la poubelle ou qu’il soit vendu, l’important c’est de ne pas perdre le contrôle de son inventaire, parce qu’après c’est dix fois pire.

Moi, ma catégorie préférée, c’est les objets qui peuvent être vendus. Ça ne sert plus ? Hop on met ça sur lespac ou sur eBay. Je me souviens d’un petit texte lu sur eBay qui disait que chaque maison contient, en moyenne, 1350 $ de marchandise inutilisée qui peut être vendue. Je me suis vite rendu compte qu’on n’a pas besoin de chercher bien longtemps pour se débarrasser d’un paquet de traîneries… tout en empochant quelques centaines de dollars.

C’est comme ça que ma chambre noire et mon équipement de plongée sous-marine ont quitté ma vie, de même que plus récemment, un vieux téléphone cellulaire et un appareil photo numérique (gagné dans un concours) m’ont rapporté près de 350$.

Allez faire un tour dans le sous-sol ou dans le fond du débarras… ça pourrait être payant !