Depuis que j’ai quitté Québec en 2000, j’ai habité trois villes différentes. J’irais bientôt pour la troisième fois chez le notaire vendre une maison et je suis en plein démarrage de ma troisième entreprise. Pendant ce temps, je suis aussi tombé amoureux… et devenu père de famille. Avec le nouveau déménagement, certains pourraient penser que je suis, en quelque sorte, accro aux changements !
Pourtant, je ne vois pas de problèmes. Qu’est-ce qu’il y a de mal à faire des changements ? La vie ne passe qu’une seule fois et parfois ça s’arrête plus tôt qu’on pense. Alors, aussi bien en profiter ! J’ai envie de prendre des risques, d’essayer des choses, d’évoluer. Jusqu’à maintenant, je n’ai pas eu à m’en plaindre. Dès que l’idée de partir pour Montréal a pris place dans mon esprit, dès que cette éventualité s’est révélée possible et que j’ai senti que c’était ce que mon amoureuse désirait… c’est devenu une évidence : «Go, on y va !» La dernière chose que je veux, c’est de rester où je suis par peur de l’inconnu. J’aurais tellement l’impression de manquer quelque chose, de perdre une partie des jours que je passerai sur terre.
Je suis chanceux d’être tombé sur une amoureuse qui me comprend et qui embarque dans mes projets avec le sourire. Sophie a appris à me faire confiance et je sens que nous sommes beaucoup plus une famille que deux adultes qui vivent ensemble. Elle a choisi de repousser son retour au travail pour prendre soin d’Agathe. Alors, on a vendu une voiture, on a vendu la maison, on réduit les dépenses, on retourne en ville… on s’adapte. J’aime cette belle flexibilité que m’offre cette aptitude aux changements. J’ai hâte de déménager, j’ai hâte de vivre ce nouveau changement !
Salut Max,
Tout à fait d'accord,
Je vis sensiblement les même choses. Nouveau bébé (tu le savais déjà), mais aussi nouvelle job et nouvelle maison. Faut pas avoir peur de plonger. Le changement est certes très stimulant et on a vraiment l'impression de déplacer des montagnes.
Bon déménagement et A+