Hier, je reviens à la maison maternelle (nous sommes à Québec), après une longue journée de travail… j’étais fatigué, le cerveau comme une guimauve. Je m’approche d’Agathe qui dormait dans les bras de Sophie. Elle a l’air bien, mais je suis un peu déçu parce que j’aurais aimé la prendre et lui faire quelques chatouilles. Aussitôt qu’elle a entendu le son de ma voix, elle a ouvert ses yeux pour me faire son plus beau sourire. Hou-là-là, c’est comme si on avait allumé un petit feu dans ma poitrine.