Manic

212 km de route en pleine forêt. Des courbes, des courbes et encore des courbes. Des côtes aussi, de longues côtes dont certaines ont forcé Raoul a utiliser sa deuxième vitesse pour les gravir… à 40 km/h. Des lacs, des dizaines de lacs, des dizaines de rivières, des montagnes et des épinettes. Et, au bout de trois heures, on tombe face à face avec plus de deux millions de tonnes de béton : le barrage Manic Cinq. Ayoye !